Un revolver pour deux

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Mise en scène de Serge Sándor avec Jean-Michel Noirey et Marie Bessac à l’Eden Théâtre – Paris 20ème en 1987

-Genre : Drame contemporain

-Thèmes : La prison – les univers cloisonnés – l’amour.

 

– Personnages : 1 homme – 1 femme

 

Un homme après avoir passé cinq années en prison retrouve sa petite amie, son ancienne victime. Elle est mariée, ils se désirent, et tous les deux sont armés.

 

Pygmées

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Pygmées a été écrit par Serge Sándor

Mise en scène de Patrick Pineau et Sylvie Orcier avec David Burztein et Fabien Orcier au Théâtre Gérard Philippe de Villeurbanne en 1995.

-Genre : Comédie dramatique

 – Thème : La gémellité – Le couple

-Personnages : 2 hommes

Deux frères vivent ensemble dans l’opulence. Ils se sont reclus pour fuir le monde et ses dangers. L’un est un nostalgique, aigri. L’autre s’ennuie et ressent la nécessité de s’extraire de cette relation, son frère ne peut en faire le deuil.

Edition du Crater, coll Théâtre en Coulisses, novembre 1998.

Le prénom

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Le prénom de Juli Disla

Combien de fois avons nous rencontré une personne dans notre quotidien, à qui nous n’avons jamais osé parler, bien que le désir nous y poussait? Un homme et une femme autour de leurs poubelles transgressent cette règle qui veut que les voisins s’épient sans jamais se parler. Ils tentent une relation impossible, après de nombreuses rencontres dans ce lieu ou tout se jette, ce lieu de l’expiration. Ils se disent bien des choses, en désirent d’autres, se mettent à rêver, mais le pouvoir de la frustration, de l’interdit et des tabous les renvoient à leur solitude.

Le rire, l’humour, la diversion, tout est bon pour éviter le pire ou le meilleur, s’aimer simplement ou se consumer un soir

 

Traduction adaptée : Serge Sandor                                     Photographie     Claire Rado

avec Caroline Michel et Fabien Orcier                                 Régie                 Françoise Rocheman

Mise en scène : Serge Sandor                                             Relation presse Maria Minaya

Assistant à la mise en scène : Victor Costa                                                  José Vte.Sanjuan

Création lumière Hervé Gary                                               Administration   Cristina Fasanar

Création de l’affiche : Engloba                               Production executive   Françoise Rocheman

Remerciement : Jose Maria Conget, Paqui Roda, José Adolfo Vedri, Emilio Garrido, Juan Verdu, Ita Aagaard, Pepe Agost, Rafael Poveda, Enrique Navarro

Juste avant la rivière

 

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Juste avant la rivière écrit par Serge Sándor , mise en scène de Gilles Bourrasseau à Bures sur Yvettes en 2004Publié chez Alna éditeur

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Genre : Texte dramatique

 -Thèmes : La peine de mort – La violence urbaine

 -Personnages : 2 hommes

Dans les couloirs de la mort, un jeune homme passe sa dernière nuit en prison juste avant sa condamnation tandis que son geôlier se prépare à ce sacrifice. Ils auront ensemble une conversation improbable.

Autres mises en scène : de Ricardo Ferraro, Rencontres à la Cartoucherie de Vincennes en 1998 et de Peter King Rencontres à la Cartoucherie de Vincennes en 1996

Fin de fête

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Écriture de Serge Sándor,mise en scène de Mustapha Aouar, à la Gare au Théâtre aux Rencontres « Charles Dullin » en 1997

-Genre : Drame clownesque en un acte

-Thème : Le rejet

-Personnages : 2 hommes

Deux hommes ont été virés d’une fête où ils étaient invités. Ils chercheront par tous les moyens de s’y introduire de nouveau pour récupérer un objet égaré dans cet appartement.

 

Enlèvement à domicile

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Enlèvement à domicile de Juli Disla

Combien de fois avons nous rencontré une personne dans notre quotidien, à qui nous n’avons jamais osé parler, bien que le désir nous y poussait?

Un homme et une femme autour de leurs poubelles transgressent cette règle qui veut que les voisins s’épient sans jamais se parler. Ils tentent une relation impossible, après de nombreuses rencontres dans ce lieu ou tout se jette, ce lieu de l’expiration. Ils se disent bien des choses, en désirent d’autres, se mettent à rêver, mais le pouvoir de la frustration, de l’interdit et des tabous les renvoient à leur solitude.

Le rire, l’humour, la diversion, tout est bon pour éviter le pire ou le meilleur, s’aimer simplement ou se consumer un soir

Traduction adaptée : Serge Sandor                                     Photographie     Claire Rado

avec Caroline Michel et Fabien Orcier                                 Régie                 Françoise Rocheman

Mise en scène : Serge Sandor                                             Relation presse Maria Minaya

Assistant à la mise en scène : Victor Costa                                                   José Vte.Sanjuan

Création lumière Hervé Gary                                               Administration   Cristina Fasanar

Création de l’affiche : Engloba                                Production executive   Françoise Rocheman

 

Remerciement : Jose Maria Conget, Paqui Roda, José Adolfo Vedri, Emilio Garrido, Juan Verdu, Ita Aagaard, Pepe Agost, Rafael Poveda, Enrique Navarro

J’ai tué Emma S…

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J’ai tué Emma S de Juli Disla

Combien de fois avons nous rencontré une personne dans notre quotidien, à qui nous n’avons jamais osé parler, bien que le désir nous y poussait?

Un homme et une femme autour de leurs poubelles transfressent cette règle qui veut que les voisins s’épient sans jamais se parler. Ils tentent une relation impossible, après de nombreuses rencontres dans ce lieu ou tout se jette, ce lieu de l’expiration. Ils se disent bien des choses, en désirent d’autres, se mettent à rêver, mais le pouvoir de la frustration, de l’interdit et des tabous les renvoient à leur solitude.

Le rire, l’humour, la diversion, tout est bon pour éviter le pire ou le meilleur, s’aimer simplement ou se consumer un soir

Traduction adaptée : Serge Sandor                                     Photographie     Claire Rado

avec Caroline Michel et Fabien Orcier                                 Régie                 Françoise Rocheman

Mise en scène : Serge Sandor                                             Relation presse Maria Minaya

Assistant à la mise en scène : Victor Costa                                                   José Vte.Sanjuan

Création lumière Hervé Gary                                               Administration   Cristina Fasanar

Création de l’affiche : Engloba                                Production executive   Françoise Rocheman

Remerciement : Jose Maria Conget, Paqui Roda, José Adolfo Vedri, Emilio Garrido, Juan Verdu, Ita Aagaard, Pepe Agost, Rafael Poveda, Enrique Navarro

Le mariage forcé

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Le Mariage forcé de Molière au théâtre du Chaudron, cartoucherie de Vincennes

Adaptation et mise en scène : Serge SANDOR

Coordinatrice artistique et sociale : Elina DUMONT

musique et chant :   Anoy VEGA

 Danse : Karem ORTIZ

Participation d’Alexandre TCHOBANOV et Jerry LIPKINS avec Martine DEPAULE, Samia ATTOUCHE, Marie-Christine BERGIER, Adida AMER, ALI ZERRADINE,  Hakim AMAR, Mike SALTER, , Jutta WERNICKE, Sophia VON GOSEN, Aurélie BOUIX , Elina DUMONT

 

avec le soutien

du Fonds social européen et la complicité du FNARS Ile de France.

La collaboration des associations

Emmaüs, Sidaction, Aides Ile de France, Paroles de Femmes,

Arc En Ciel, Anpe Spectacles, Le Sourire en Amande, La Tribu, Habitat Cité

À la tombée de la nuit

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À la tombée de la nuit de Juli Disla

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Combien de fois avons nous rencontré une personne dans notre quotidien, à qui nous n’avons jamais osé parler, bien que le désir nous y poussait? Un homme et une femme autour de leurs poubelles transgressent cette règle qui veut que les voisins s’épient sans jamais se parler. Ils tentent une relation impossible, après de nombreuses rencontres dans ce lieu ou tout se jette, ce lieu de l’expiration. Ils se disent bien des choses, en désirent d’autres, se mettent à rêver, mais le pouvoir de la frustration,de l’interdit et des tabous les renvoient à leur solitude.

Le rire, l’humour, la diversion, tout est bon pour éviter le pire ou le meilleur, s’aimer simplement ou se consumer un soir

Une comète à Cuba

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une œuvre de Céline Monsarrat, mise en scène par Serge Sàndor au Théâtre du Chaudron de la Cartoucherie de Vincennes – Paris 12 en 2008

Affiche_Comete

Cuba, aux alentours du 18 mai 1910 quelques heures avant la fin du monde. Le passage de la comète de Halley réveille les peurs ancestrales et les pulsions les plus folles.

Le retour au bercail d’Adela, la jeune sœur cadette répudiée, achèvera de libérer des tabous qui corsetaient la vertu des 5 sœurs…

 

Personnages : 5 femmes – Un homme – 3 musiciens Cubains